La
chauve-souris possède bien une « cape ». Léonard de Vinci s’en est même inspiré
pour son projet de machine volante. Nommée patagium, cette membrane recouvre
l’ensemble de l’aile (chez certaines espèces, elle peut s’étendre jusqu’aux
membres postérieurs et à la queue). Elle se compose d’une double peau très fine
parsemée de poils sensoriels lui permettant de sonder les flux de l’air.
Mais ce
n’est pas tout ! En effet, grâce à cette « cape » les chauves-souris peuvent
aussi se réchauffer au moment de l’hibernation, attraper de quoi se nourrir ou
encore retenir leur petit lors de la mise-bas.
Tout jugement oscille sur la pointe de l'erreur... La connaissance est une perpétuelle aventure à la lisière de l'incertitude.
Une mère dit à son fils :
— Ferme la porte, il fait froid dehors !
— Mais maman, si je ferme la porte, il fera toujours froid dehors…
