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01 mai 2025

ÉDITO : Hommage au 1er mai- Par A. Laalioui

Publié par A. Laalioui le 1er mai 2025


Le 1er mai, aujourd’hui reconnu dans de nombreux pays comme la fête internationale des travailleurs, trouve ses origines dans les luttes ouvrières du XIXe siècle. 

19 avril 2025

ÉDITO : Algérie : la triple peine, diplomatie de l’orgueil, politique du recul- Par A. Laalioui

Publié par A. Laalioui le 19/4/2025

Il faut croire qu’à Alger, la diplomatie se pratique à coups de portes claquées. Depuis quelques années, le pays a multiplié les fronts d’hostilité, au point de s’enfermer dans une spirale d’isolement régional et international. 

23 mars 2025

ÉDITO: L’Algérie rend hommage au Maroc- Par A. Laalioui

 

L'Algérie rend hommage au Maroc, bien que ce ne soit pas de manière assumée. Plus

25 février 2025

ÉDITO : Un saut dans l’inconnu- Par A. Laalioui

 Publié le 25  février 2025

Le XXIe siècle s’annonçait comme une ère de progrès et d’épanouissement, portée par l’essor technologique et la mondialisation. Pourtant, à peine franchi son seuil, l’humanité semble s’être engouffrée dans une période d’incertitude. Lire plus

06 février 2025

ÉDITO : Un monde incompréhensible ? Par A. Laalioui

 Publié le 6  février 2025


Les deux premiers mois de 2025 sous l’ère Trump ont été marqués par une gouvernance imprévisible et des décisions à l’emporte-pièce souvent controversées. Ce début de mandat a été ponctué par une série d’annonces et de revirements qui ont alimenté le débat politique et économique aux États-Unis et à l’international. Lire plus

30 janvier 2025

ÉDITO : Le fake comme ligne éditoriale, la presse algérienne nage en mer démontée- Par A. Laalioui

 Publié le  30 janvier 2025


Le naufrage est consommé. Pris dans la tourmente de politiques hasardeuses et d’une diplomatie aveugle, le régime algérien s’enfonce chaque jour un peu plus dans l’isolement international. Autrefois adoubée par certains alliés stratégiques, l’Algérie se retrouve aujourd’hui confrontée à un monde qui lui tourne progressivement le dos. Les pays du Sahel, lassés de son ingérence, ont rejeté son hégémonie. L’Espagne et la France, partenaires historiques, prennent leurs distances. Même la Russie, soutien de toujours, semble jouer une carte plus pragmatique. Quant à l'Iran, il est bridé, et la Syrie de Bachar El Assad n'est plus que de l’histoire ancienne. (Plus)

23 janvier 2025

ÉDITO : Trump/Musk, vers la confrontation ? Par A. Laalioui

Publié le  23 janvier 2025




L’analyse des discours et des positions d’Elon Musk et de Donald Trump révèle des divergences fondamentales, amplifiées par les divergences apparues ces derniers jours notamment la critique du projet Stargate d’investissement dans l’IA présenté par Donald Trump. Ces deux figures emblématiques, bien que différentes dans leurs approches et objectifs, ont vu leurs trajectoires s’entrecroiser, créant des tensions à la fois idéologiques et stratégiques. (Plus)

16 janvier 2025

ÉDITO : Diplomatie tous azimuts de la Russie ; cynisme ou pragmatisme? Par A. Laalioui

Publié le 16 janvier 2025

 

Les récentes déclarations de Sergueï Lavrov sur le Sahara occidental illustrent une diplomatie russe profondément ancrée dans le pragmatisme cynique. Affirmer soutenir le droit à l’autodétermination tout en offrant une assistance au Maroc reflète une tentative de maintenir des liens avec deux camps opposés, un stratagème habituel pour un pays cherchant à maximiser son influence dans des régions géopolitiquement sensibles. Cette double position n’est pas nouvelle : elle rappelle la politique russe au Moyen-Orient, où la Russie,  grand soutien du dictateur syrien renversé, aux côtés duquel, elle  a participé aux massacres en Syrie, ce qui ne l’empêche pas de se déclarer être un ami du peuple syrien, une dichotomie qui ne trompe personne et qui alimente la méfiance. (Plus)

09 janvier 2025

ÉDITO: Le maelstrom algérien- Par A. Laalioui

Publié le  9 janvier 2025 
 
 

 

L'Algérie traverse une période de turbulences marquée par une série de crises internes et externes qui compromettent toute perspective de stabilisation à court terme. Lire plus

28 décembre 2024

Édito : D’une année de changement à une nouvelle page à écrire- Par KALEIDOSCOPE

Publié le 28 décembre 2024

 

Alors que l’année 2024 s’achève, elle nous laisse un héritage riche en événements qui ont marqué le monde et résonné sur KALEIDOSCOPE. Cette année, nous avons été témoins de bouleversements géopolitiques, de défis environnementaux accrus, de progrès technologiques inédits, et de luttes sociales qui redéfinissent les priorités mondiales.

Parmi ces faits marquants :

    Les tensions internationales qui continuent de remodeler les alliances et les rivalités.

    Les avancées climatiques, avec des sommets cruciaux et des engagements renouvelés, même si les défis restent immenses.

    La révolution numérique, qui touche chaque aspect de nos vies, redessinant les contours du travail, des relations et de l’information.

    Les aspirations sportives mondiales, marquées par l’effervescence autour de la préparation de la Coupe du Monde 2030.

Sur www.kaleidoscope.ma, nous avons tenté de capturer ces moments, de les analyser et de les rendre accessibles à travers un prisme qui informe, divertit, et engage.

Alors que 2025 se profile, nous souhaitons à nos fidèles lecteurs et lectrices une année remplie de succès, de bonheur, et d’épanouissement.

Nous vous invitons à faire partie intégrante de l’aventure KALEIDOSCOPE. Votre engagement, que ce soit à travers vos lectures, vos partages ou vos contributions, est la plus belle reconnaissance de nos efforts. Ensemble, continuons à décrypter le monde et à célébrer sa diversité, avec comme leitmotiv notre slogan : "Informer et divertir."

 

Bonne année 2025, et merci d’être à nos côtés pour écrire cette nouvelle page de l’histoire !

 

L’équipe de KALEIDOSCOPE.


 

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04 décembre 2024

ÉDITO : La France à la croisée des chemins- Par A. Laalioui

Publié le 4 décembre 2024

 

Le 4 décembre 2024, le gouvernement de Michel Barnier a été renversé par une motion de censure largement soutenue à l'Assemblée nationale, une première depuis 1962. Ce renversement reflète un profond blocage politique, marqué par l'absence de majorité stable et les tensions entre l'exécutif et les oppositions. Ce contexte illustre les défis croissants auxquels la France fait face sous la présidence d'Emmanuel Macron. Lire plus

04 novembre 2024

ÉDITO : Algérie ; le mimétisme facteur de "Hard weakness" - Par Abdelhak Laalioui

Publié le 4 novembre 2024

Depuis son indépendance en 1962, l'Algérie semble manifester une tendance à s'approprier des éléments culturels et historiques du Maroc, son voisin de l'Ouest. Cet intérêt pourrait être interprété comme une forme de "Hard weakness" — l'exact opposé du "soft power," concept qui consiste pour un pays à rayonner culturellement et politiquement grâce à la force douce de son héritage ou de ses acquits. À l'inverse, l'Algérie a souvent tenté de puiser dans le patrimoine marocain, cherchant à se construire une identité culturelle en mimant celle d'un pays vieux de treize siècles. Lire plus

18 octobre 2024

ÉDITO : La "Rasd", problème algérien: Une relecture de Marco Baratto_ Par A. Laalioui

Pour Marco Baratto, dans  «Focus Mediterraneo»   ( 7/10/2024),  la question de la   « Rasd » (République arabe sahraouie démocratique) et de son exercice de pouvoir souverain sur les camps de « réfugiés sahraouis » au sud de Tindouf, en Algérie, soulève de curieuses problématiques juridiques. Selon les principes de base définissant l’existence d’une nation, celle-ci doit disposer de certaines caractéristiques essentielles, notamment un territoire. Or, l’autoproclamée « Rasd » ne possède aucun territoire propre. Lire plus

14 octobre 2024

ÉDITO : La CJUE contre l’UE – Par A. Laalioui


La Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE), souvent perçue comme un organe supranational qui outrepasse les intérêts nationaux des États membres, est fréquemment accusée d’être influencée par une idéologie de gauche « confortable ». Les juges, à travers les arrêts de la Cour, favorise un militantisme juridique théorique qui prétend servir des intérêts humanitaires ou environnementaux, au détriment des intérêts économiques ou politiques de certains États européens. Les décisions de 2024, qui ont annulé plusieurs accords de pêche et d'agriculture entre l'Union européenne ( UE) et le Maroc, en sont un exemple flagrant.

Ces accords, signés initialement pour faciliter l'exploitation des ressources agricoles et halieutiques, notamment au Sahara dit  ‘’occidental’’, ont permis à plusieurs pays européens, comme l’Espagne et la France, de bénéficier d'un accès privilégié aux eaux poissonneuses marocaines et à ses produits agricoles. Le secteur de la pêche en Espagne, en particulier, est hautement dépendant de ces accords pour maintenir des emplois et une production stable. De plus, ces accords visaient à renforcer la coopération économique entre le Maroc et l'UE, un partenariat essentiel pour la stabilité régionale.

En 2024, la CJUE a invalidé certains de ces accords, arguant que le Sahara occidental ne faisait pas légalement partie du territoire souverain du Maroc, et qu’en conséquence, les populations locales n’avaient pas été suffisamment consultées. Cette décision, basée sur une fausse appréciation du problème créé de toutes pièces par l’Algérie, a suscité une vive opposition dans plusieurs pays européens, notamment ceux dont l'économie est étroitement liée à ces accords. L’Espagne, par exemple, a vu ses intérêts économiques directement menacés, exacerbant une crise entre les autorités espagnoles et la CJUE. La CJUE a longtemps milité contre les intérêts du Maroc, ignorant le fait que le Sahara est la continuation géographique naturelle du pays et que le pseudo-peuple sahraoui, qui n’a aucune existence autonome attestée, n’est qu’une partie de la population marocaine.

Beaucoup de critiques dénoncent ces décisions comme le résultat d'un militantisme juridique au forceps à contre-courant des intérêts économiques des États européens. Selon ces critiques, la CJUE donne la priorité à une vision idéaliste des relations internationales, détachée des réalités géopolitiques et économiques. Cette approche, "de gauche", ne fait qu’essayer de donner corps au caractère fallacieux des revendications indépendantistes du Sahara occidental.

La décision sur les accords UE-Maroc n'est pas un cas isolé. La CJUE a, à plusieurs reprises, rendu des arrêts qui ont provoqué des tensions entre elle et certains États membres. La CJUE a souvent statué contre les restrictions migratoires imposées par certains pays de l'Est de l'Europe, comme la Hongrie et la Pologne, les obligeant à accepter des quotas de réfugiés en vertu des lois européennes. Ces arrêts ont alimenté des tensions entre la CJUE et les gouvernements conservateurs, qui voient dans ces décisions une ingérence dans leurs politiques souveraines.

La CJUE a également joué un rôle actif dans le domaine du droit du travail, avec des décisions en faveur de la protection des droits des travailleurs, souvent au détriment des réformes économiques plus libérales. Par exemple, la Cour a imposé des règles strictes sur le détachement des travailleurs au sein de l'UE, ce qui a compliqué les efforts de pays comme la France et l'Allemagne pour réformer leur marché du travail.

La CJUE a émis plusieurs arrêts imposant des restrictions environnementales sur des projets industriels. En 2019, elle a bloqué des projets d’infrastructures majeurs en Pologne en raison de préoccupations liées à la protection de la biodiversité, malgré l’opposition du gouvernement polonais, qui voyait dans ces projets un levier crucial pour sa croissance économique.

La CJUE se trouve donc fréquemment en désaccord avec les intérêts de certains pays européens. Les gouvernements nationaux qui se sentent lésés par ses décisions dénoncent souvent une dérive fédéraliste qui réduit leur souveraineté au profit d'une Europe perçue comme technocratique et éloignée des réalités locales. Dans le cas des accords UE-Maroc, plusieurs États membres, comme l’Espagne et le Portugal, ont exprimé leur mécontentement face à l’annulation des accords, estimant que cela menace des milliers d'emplois et déstabilise des relations bilatérales stratégiques.

L'appréciation selon laquelle la Cour de Justice de l’Union européenne agit comme un "club de juges de gauche" repose sur une perception que ses décisions reflètent un militantisme juridique qui n’est pas toujours pertinent. Les nombreux exemples illustrent comment la Cour peut entrer en conflit avec les intérêts nationaux de certains États membres, alimentant ainsi le débat sur l’équilibre entre intégration européenne et souveraineté nationale.